Malabonews-Malabo(Guinee equatoriale)-Les
journalistes de guinée équatoriale petit pays d’Afrique centrale
célèbrent avec tristesse la journée internationale de la liberté de la
presse car soumis à la censure et obligés de s’autocensurer, les
autorités harcèlent les journalistes travaillant sur le territoire
équato-guinéen.
Les
professionnels des media célèbrent en outre le 3 mai alors que
plusieurs sites d’informations, blog et le réseau social facebook sont
toujours bloqués d’accès à l’intérieur du pays.
Le gouvernent équato-guinéen a bloqué en 2013, le réseau social Facebook suivi des sites d’informations critiques du régime.
Les
sites du gouvernement, du parti présidentiel sont bel et bien
accessibles contrairement a ceux de l’opposition comme le site de la
convergence pour la démocratie sociale CPDS, de los ciudadanos por la
innovacion C.I ou le blog d’informations générales sur la guinée
équatoriale du journaliste indépendant Samuel Obiang
"Ceci
temoigne la violation constante et systematique des droits de l'homme
et de la liberte de presse et de l'information que fait monsieur Obiang
Nguema en Guinee equatoriale" a Iindique Andres Esono Ondo secretaire
general de CPDS.
Le
blog coupdegueuledesamuel ou Malabo News de Samuel Obiang bloqué
d’accès à l’intérieur de guinée équatoriale depuis 2015 sans motif suite
à un appel téléphonique anonyme du service de renseignement.
Le
journaliste a appelé a cette occasion les autorités a « effacer » son
blog sur leur « liste noire » car ce blog a un seul objectif celui
d’informer de loin ou de près la population sur l’actualité en guinée
équatoriale avant de « dénoncer la violation du droit à l’information »
comme un droit fondamental et reconnu par la constitution equatoguinenne.
La Guinée équatoriale compte deux télévisions et deux radios toutes sous le contrôlent des autorités ou régime.
Il
y a quelques cinq publications supposées privées sont, elles soumises à
l’autocensure pour éviter, la suspension ou alors de se retrouver
derrière les barreaux.
Aucun
journaliste n’est en prison en Guinée équatoriale mais les journalistes
ne sont aussi pas libres de faire tranquillement leur travail.
SOM/
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