Infos sûres

Nous sommes heureux de vous accueillir sur notre blog,la discipline,vérité et crédibilité sont nos priorités pour une info réelle.

dimanche 21 avril 2013

Guinée Equatoriale :l’homosexualité, une mode ou une secte


L’homosexualité gagne du terrain au pays de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo malgré la loi qui la prohibe

MALABONews-Malabo (Guinée équatoriale) Dans les métropoles de Guinée équatoriale surtout à Malabo la Capitale le constat est amer ,les  couples homosexuels se font découvrir chaque jour notamment les femmes alors que la loi du pays interdit le phénomène ou la pratique dont les joueuses de football sont les protagonistes.
A Malabo par exemple, le quartier Santa Maria 3 est réputé pour la quantité intéressante des lesbiennes et couple homo qui habitent.
Vue le nombre  sans précédent de couples homosexuels vivant sous le même toit c’est-à-dire dans la même maison ou dire tout simplement mariage,à Malabo l’on croit qu’il s’agit d’une secte ou la mode.
Pour certains avancent qu’il s’agit d’une secte, puisque la pratique sert à prendre les chances de son partenaire de même sexeexplique-t-on.
L’homosexualité ne fait pas partie des cultures ,traditions ou coutumes Equatoguineennes, bantu ou fang, les expatriés sont donc soupçonnés d’avoir importé l’homosexualité dont les conséquences sont déjà  par exemple le divorce de femmes chez les hommes après avoir couché avec une autre femme vice versa , indique plusieurs témoignages à Malabo,
Les joueuses de la sélection nationale de football, le Nzalang Féminin sont toutes soupçonnées de pratiquer l’homosexualité et certaines femmes de l’armée  selon les sources concordantes à Malabo.
Autres conséquence c’est les bagarres par ces dernières à cause de la jalousie, bagarres qui troublent l’ordre public
En dépit des agressions que les lesbiennes connaissent, la pratique connait en revanche un boom.
Dans les postes de police à Malabo, difficile de passer une semaine sans enregistrer le passage d’un  couple féminin  ou des lesbiennes suite à une bagarre ou autre problème entre elles.
Selon une  enquête réalisée par MALABONews, les jeunes filles entre 15 et 25 ans sont plus concernées ou intéressées par le phénomène.
Entre 25 et 35 ans  pour les garçons mais cela n'exclut pas  les hommes et femmes plus âgés.
Dans les discothèques de Malabo, il y a raison d'être prudent car un nombre considérable de jeunes garçons mènent les dragues à outrance aux personnes de meme sexe.
Face donc à ce qu’on  considère de'' danger'' le gouvernement de Malabo reste encore Muet  comme cela est le cas avec d'autre ‘’fléaux ou maux qui détournent la conscience de la jeunesse équatoguinéene’’déclare le politologue  JustoEdzing Ngumu .
Au regard de la monté  du phénomène et face au silence des autorités ou alors leur incapacité de faire appliquer les lois au profit de la conservation du pouvoir, Malabo est prié de prendre à bras le corps  le sujet jugé critique dans un pays ou la politique de reproduction doit être encouragée à cause  de sa population encore bien petite un million environ.
SOM/



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire