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mardi 22 novembre 2016

Afrique centrale-forets-PFBC: La question de changement climatique et la gestion des forets en Afrique centrale au coeur des reflexions a Kigali à l'occasion de la 16e reunion du PFBC



Malabonews-Kigali(Rwanda)-La capitale du Rwanda Kigali abrite du 21 au 26 novembre la 16e reunion du Partenariat pour les forets du Bassin du Congo PFBC, ou les forets, les terres et le changement climatique en Afrique centrale sont au centre de réflexions pour trouver les  stratégies et mesures afin de sauver le bassin du Congo,deuxième poumon écologique mondial des  difficultés qui s’annoncent très mauvaises pour ses populations.
Ces  refixions pour  trouver  par exemple de meilleures pratiques d’agriculture, la  bonne gestion des terres ou encore mieux  s’adopter aux changements climatiques, les travaux se déroulent au Kigali Convention centre, un complexe de conférence flambant neuf inauguré lors  du 27e sommet de l’union Africaine en juillet dernier.
Les travaux se tiennent dans le cadre de la 16e réunion annuelle des parties du partenariat pour des forets  du Bassin du Congo.
Experts, ministres , partenaires étrangers comme l’UE, Etats unis ou encore l’Allemagne, société civile, organisations intergouvernementales et la multitude d’intuitions sont présents à Kigali tous regroupés au sein de la coopération partenariat pour les forets du bassin du Congo PFBC / un partenariat  qui soutient donc la vision des chefs d’état de l’Afrique centrale en faveur de la conservation de la biodiversité, de la gestion durable des écosystèmes forestiers, de la lutte contre le changement climatique et de la réduction de la pauvreté en Afrique centrale.
Au menu donc de ces échanges, l’on retrouve par exemple les politiques de gestion forestière et d’aménagement du territoire.
Le changement climatique : les efforts d’adaptation et d’atténuation ou encore accroitre le financement pour la lutte contre le changement climatique en Afrique centrale.
Le partage des expériences se passent aussi bien entre les différents pays de la sous région où le  Rwanda est présenté comme un model dans la gestion des forets et protection de l’environnement, vous l’aurez donc compris que  le  choix du pays de mille collines, le Rwanda  pour la tenue de cette réunion n’est pas un hasard.
SOM/

mardi 27 septembre 2016

AFRIQUE –CEEAC –PRESIDENTS : la force gagne la volonté du peuple/ coup de gueule




Malabonews-Malabo(Guinee equatoriale)-La zone de la communauté économique des états de l’Afrique centrale (CEEAC) qui comprend les pays suivants, le Cameroun, la guinée équatoriale, le Gabon, le Tchad, le Congo Brazzaville, la république Centrafricaine (RCA), le Sao Tome et Principe, le Burundi, le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC) connait un panorama politique très flou provoqué par les chefs d’ états dits de « force » qui sont prêts a tuer leur peuple pour conserver leur chaise présidentielle .

Parmi ces dix pays, le petit état de Sao Tome et Principe est l’exception et la bas on parle et pratique le mot «  démocratie »  puisque l’alternance se fait sans ambages  et sans problèmes ce qui n’est pas  le cas dans le reste des neuf autres pays de cette sous région.

Dans le reste de neuf autres pays, le constat est donc  tres amer, de Malabo à Bujumbura passant par Kinshasa  et  de N’Djamena  à Libreville passant par Brazzaville on se rend compte qu’organiser les élections présidentielles est un théâtre monté  de toutes pièces par les présidents au pouvoir qui attendent grâce à, leurs manœuvres honteuses pour se maintenir au pouvoir, leur  temps de sommeil  eternel.

Alors si ces derniers ont décidé  ainsi, il est urgent pour nous de poser la question de savoir pourquoi organise-t-on les élections présidentielles, quand on sait bien que ces présidents dont certains ont même accédé au trône par des coups d’état  ne peuvent jamais accepter l’alternance tant qu’ils sont encore en vie dans ces pays.

Gagner l’élection ou pas c’est toujours lui, le président, comment pouvons nous ou eux-mêmes justifier  leur légitimité quand on sait que l’expression du peuple dans les urnes ne leur dit rien du tout en faveur de leur  volonté et ambitions.

Il est très difficile et douloureux de constater que tous ces présidents  ont sur leurs lèvres le mot « Démocratie », doivent-ils prononcer le mot démocratie ? Ou alors le mot « Force ».

Vous conviendrez donc avec moi qu’il  est obligatoire qu’ils abandonnent  définitivement le mot démocratie car la démocratie est un pourvoir donné par le peuple et pour le peuple ce qui n’est pas le cas dans cette zone CEEAC ou seule la force est le seul moyen utilisé pour s’éterniser au pourvoir.

Dans cet article certains pourront se poser la question de savoir, c’est quoi la force ou bien s’agit-il de quelle force.

Il s’agit de la force  des moyens de défense et sécurité de l’état souvent utilisés pour intimider , massacrer et autres atteints à la vie des habitants dont le seul objectif est de se maintenir coute que coute au pouvoir .

La crise poste électorale au Gabon parce que la réélection de monsieur Ali Bongo est contesté, les problèmes  au Congo Brazzaville à cause du changement de la constitution pour que Denis Sassou Nguesso se représente, en RDC le prolongement de mandat de Joseph Kabila au Burundi Pierre Nkurunziza inflexible après avoir violé les accords d’Arusha qui stipulaient qu’il n’avait plus raison de se présenter encore candidat, au Tchad Idriss Deby fait disparaitre les soldats qui ne l’avait pas  voté

Bref le constat est triste et très douloureux car  toutes ces situations sont accompagnées des massacres des personnes parce qu’ils expriment simple leur droit de refus face a ces présidents qu’ils trouvent incapables pour changer leurs conditions de vie.

Exprimer son opinion, marquer son refus parce que vous  trouvez que la gestion est  chaotique, autorise qui que ce soit à vous poursuivre ? Pire encore tuer ?, on appelle cela « Diable »  cet esprit diabolique de ces présidents de force qui n’hésitent pas de demander à la police, gendarmerie et forces armées d’ailleurs mêmes sous formées de tirer à balles réelles sur les populations mains levées.

Vous les forces de maintien de l’ordre et l’armée Africaines quand est ce que vous allez comprendre que vous n’êtes pas au service du président de force, et que vous êtes là  pour la nation à laquelle nous appartenons tous.

Ce matériel belliqueux utilisé contre les opposants et populations qui revendiquent leurs droits n’est pas celui du président  de force, mais celui de tout les citoyens de ce pays.

Quand est ce  que vous allez contredire la « sous formation » dont on vous accuse.

Regarder vous avez tué vos compatriotes  au Gabon, RDC, Burundi etc.  Pour prendre que ces situations  récentes de l’histoire de la zone CEEAC,  ceci pour défendre un seul homme et tuer des dizaines de vos frères, mères, sœurs etc. dans  quel état d’esprit vous vous trouvez maintenant ?

Cela  se justifie par quoi à votre avis  vous les hommes en tenue.

Ce genre d’agissement  ne vous fait pas honneur et  remet en cause  vos formations.

Pourquoi se montrer vaillant face aux pauvres personnes non armée, il est  donc évident de vous notifier que  Boko haram sévit dans votre région et votre incapacité est notoire pour mettre hors état de nuire ces islamistes  Nigérians.

Cependant la volonté de la population exprimée dans les urnes doit être respectée et vous l’union Africaine (UA) réputée pour son manque de prises des décisions qui s’imposent et de connivence avec les régimes de force , la communauté internationale n’est pas en reste il est temps pour que vous , arrêtez de vous contenter que des  grands appels au calme et à la retenue alors que les  populations sont tuées par les faucons qui ne se soucis que de leur poste de président de la république peu importe la  manière ou le moyen pour y être à ce poste de la magistrature suprême

Votre manque d’action pour protéger les populations en danger, vous rend complice des pertes de  vie des hommes mains vides par les régimes de force  dans les pays de la zone CEEAC de l’Afrique centrale où envisager l’alternance au pouvoir est devenue un crime.

-Les couleurs de sang pour se maintenir au pouvoir, rappel des faits

C´est le président Burundais pierre Nkurunziza qui a donne le coup d´envoi en massacrant tous ceux qui s´oppose a son maintien au pouvoir, le Congo Brazzaville a emboite le pas, emprisonnement des opposants et éliminations physiques , Ndjamena capitale du Tchad a fait disparaitre ses militaires a Malabo le résidence privée de l´opposant Gabriel Nze Obiang est attaque en pleine nuit peu avant le élection présidentielle du 24 avril, bilan triste, Libreville copie la même chose et les forces armées et de sécurité attaquent le QG de Jean Ping principal opposant, on connait le bilan, la RDC dont l´épilogue de feuilleton actuel sera sans doute delitere fait fortement battre les cœur après les attaques qui ont visées les sièges des partis politiques et le carnage perpétré par les militaires de Kabila qui est en pleine manœuvres dilatoires pour rester au pouvoir.

L´Afrique centrale doit-elle continuer sur cette voie ? Dommage
SOM/

Guinée équatoriale-educqtion-grossesse: ecoles sans filles enceintes



Malabonews-Malabo(Guinee equatoriale)- Les jeunes filles enceintes ne sont plus admises dans les établissements  scolaires primaires et secondaires  en Guinée équatoriale  dans le but de dissuader les mineures à se protéger  contre les grossesses précoces et non désirées  a indiqué mardi à la télévision d’état la vice ministre de l’éducation, Maria Jésus Nkara.

« Nous appliquons cette mesure pour les élèves du primaire et du secondaire parce que c’est la ou on trouve les mineures et nous pensons que c’est de cette manière qu’elles pourront se protéger pour éviter les grossesses précoces et non désirées » a  expliqué Maria Jésus Nkara en s’appuyant sur un arrêté du de son ministère.

La mesure est appliquée à partir de cette rentrée  scolaire 2016-2017 qui a officiellement eu lieu le 19 septembre dernier où le  résultat du test de grossesse est  donc  la condition sine qua non  pour formaliser son inscription.

La décision divise les équato-guinéens,  car certains parlent de la discrimination, d’une violation d’un droit universel, le droit à l’éducation et une violation d’un  des  dix objectifs du millénaire.

En revanche la majorité des équato-guinéens  saluent cette décision puisqu’ils estiment que cela contribuera à la prévention des grossesses précoces et non désirées chez les mineures.

Le fait que des mineures enceintes s’occupent souvent de leur état de grossesse au détriment des études, mauvais exemple parmi  les autres et d’autres mauvaises connotations sont autant d’autres raisons  qui justifient la bienvenue et le bien fondé de  la décision saluée par plusieurs  a -t-on appris  auprès  des personnes contactées.

En Guinée équatoriale trois sur cinq filles de 13 à 18 ans tombent enceinte à cause de la pauvreté  selon les sociologues et la perte d’autorité des parents sur les enfants  selon les traditionnalistes.

Le système éducatif équato-guinéen est fragilisé par la vente de bonnes notes  contre  de l’argent justifiée par les salaires dérisoires des enseignants.
SOM/

mercredi 13 juillet 2016

Afrique-UA-Sommet-Rwanda-Kigali: Le Rwanda deja en plein 27e sommet de l'Union Africaine (UA)

Malabonews-Kigali(Rwanda)-Kigali la capitale du Rwanda a change ses couleurs habituelles pour porter celles de l' Afrique entière car c'est ici ou se tient le 27e sommet de l'union Africaine du 10 au 18 juillet.
Si le thème est "l’année des droits de l'homme avec un accent particulier sur les droits de la femme", mais un des enjeux majeurs c' est l’élection du nouveau président de la commission de l'union Africaine c' est a dire le successeur de la Sud -Africaine NKosazana Dlamini Zuma.
Parmi ses potentiels successeurs , il y a le ministre des affaires étrangères de Guinée équatoriale,Agapito Mba Mokuy .équatoguinéenne est apparemment soutenu par plus de la moitie des pays Africains.
Mais cela ne veut pas dire qu'il est déjà prêt a être élu par les chefs d’état du continent charges de voter qui n’hésitent pour certains a changer d'avis a la dernière minute.
Autres enjeux a ne pas négliger, c'est la crise au Burundi qui sera entre autres aussi débattue sans oublier la Somalie ou les milices Al Shebab ne cessent de dicter leur loi en perpétrant les attentats faisant des bilans humains déplorables.
Kigali est donc fin prêt pour que le 27e sommet de l'UA se déroule en toute sécurité en témoigne donc une sécurité renforcée par la police et forces armées aperçues et en patrouille tout azimut dans la capitale du pays de mille collines.
Le conseil exécutif des ministres des affaires etrangeres presidé par le ministre des affaires etrangeres du Tchad Moussa Faki Mahamat a tenu sa 29e session ordinaire ce mercredi à la grande salle de Kigali Convention Centre, un centre de conférences flambant neuf.
SOM et d'une grande capacité/

vendredi 24 juin 2016

Guinee equatoriale-politique-justice-opposition:l'opposant Gabriel Nse Obiang Obono a ete devant le juge d'intruction jeudi pendant un peu plus de deux heures pour etre entendu.

Malabonews,Maabo(Guinee equatoriale)-L'opposant Equatoguineen leader du parti, Cuidadanos por la innovacion C.I ,Gabriel Nse Obiang Obono a ete  entendu jeudi pendant un peu plus de deux heures par le juge d 'intruction numero 2 de Malabo Matias Ndong sur les accusations" d' injures et calomnie "au parti presidentiel parti democratique de Guinee equatoriale PDGE.
" je suis venu pour que les fausses accusations que le leader de C.I a faites au parti democratique de guinee equatoriale d'avoir voulu bicephalise son parti et d'avoir donne 500 millions de FCFA a son secretaire general alors que ces faits ne sont pas averes" a declare lors de son passage jeudi au palais de justice, le secretaire general du parti democratique de Guinee equatoriale PDGE ,Jeronimo Osa Osa Ecoro.
Pour sa part Gabriel Nse Obiang Obono a balaye ces accusations
"J'ai repondu normalement aux questions du juge et je ne reconnais aucune injure faite au parti democratique de Guinee equatoriale" a declare au sortir de l'interrogatoire,Gabriel Nse Obiang visiblemeent amaigri et deprime.
L'opposant a ete accompagne de quelques militants et sympatisants risque d'etre inculpe pour injures et calomnie, delit passible de 2 a 3 ans d'emprisonnement selon l' avocat Fabian Nsue.
"Nous sommes encore a la premiere phase d'instruction et nous allons en suite transmettre le dossier a l'autorite competente ou tribunal" a indique le juge d'instruction numero 2 de Malabo Matias Ndong Adugu.
Gabriel Nse Obiang elimine de la course a l'election  presidentielle du 24 avril dernier pour n'avoir pas vecu cinq annees consecutive dans le pays est l' actuelle opposant redoute par le parti au pouvoir en Guinee equatoriale.
Le domicile de l'opposant a ete attaque par la police qui avait ouvert le feu faisant des blesses et plusieurs de ses militants arretes a la veille de l'election presidentielle.
Gabriel Nse Obiang  Obono cet ex lieutenant de l'armee equatoguineenne a ete forme a l'ecole militaire de Saragosse et s' est exile pendant 13 annees en Espagne avant revenir au bercail en novembre 2014 a la faveur d' une amnistie generale signee par le president Teodoro Obiang Nguema pour favoriser le retour de tous les exiles politique a fin de prendre part au dialogue politique national du meme mois et annee  pour resoudre les problemes politiques du pays.

SOM

dimanche 3 avril 2016

Guinee equatoriale-presidentielle: le president Teodoro Obiang Nguema ,seul coq qui chante dans la cour en Guinee equatoriale remportera avec une victoire ecrasante l'election presidentielle du 24 avril prochain



Malabonews-Malabo(Guinee equatoriale)-Le président de Guinée équatoriale Teodoro Obiang Nguema affrontera lors de l’élection présidentielle du 24 avril prochain, six autres candidats  mais sans participation de deux principaux partis d’opposition dont la convergence pour la démocratie sociale (CPDS) et los Ciudadanos por la innovation(C.I) qui se sont retirés pour ‘’ scrutin anticonstitutionnel’’.

« Apres la validation et proclamation de quatre candidats le 30 mars dernier, la commission électorale nationale a validé trois autres candidatures, ce qui donne un total de sept candidats qui participeront au scrutin du 24 avril en Guinée équatoriale » a indiqué dimanche  la télévision d’état.

  Le président Teodoro Obiang Nguema part grand favori à cette élection présidentielle après le retrait du processus de deux principaux partis d’opposition dite radicale notamment la convergence pour la démocratie sociale CPDS et los Ciudadanos por la Innovacion C.I de Gabriel Nse Obiang Obono actuel challanger du président au pouvoir.

Les six autres candidats qu’affrontera Teodoro Obiang Nguema sont  les néophytes pour certains et d’autres  sans poids dans l’échiquier politique national a t-on constaté

Le parti convergence pour la démocratie sociale CPDS a  annoncé au cours de la conférence de presse  par la voix de son secrétaire général Andres Esono Ondo que CPDS ne participera pas à l’élection présidentielle pour entre autres raisons, convocation anticonstitutionnelle du scrutin, c'est-à-dire hors délais, absence de recensement biométrique etc. Selon le secrétaire général de la CPDS

« CPDS ne peut pas participer a l’élection pour contenter le président alors que  le résultat est connu d’avance grâce aux multiples irrégularités et fraudes déjà préparées »  a déclaré à l’AFP Andres Esono Secrétaire général de la CPDS

Le candidat de los ciudadanos por la innovacion (C.I) , Gabriel Nse Obiang Obono qui a déposé sa candidature le 23 mars, n’a pas été validé par ce qu’elle ne réunissait les conditions notamment, le candidat n’a pas encore accompli cinq ans sans interruption vivant à l’intérieur du pays tel qu’il est stipulé dans la constitution selon le président de la commission électorale nationale Clémente Engonga Nguema Onguene.

Outre le candidat Teodoro Obiang Nguema à la tête d’une coalition de dix partis,  Bonaventura Monsuy Asumu de PCSD, Carmelo Mba Bacale de l’APGE, et Avelino Mocache Mehenga de UCD, les trois autres candidats a savoir Agustin Masoko Abegue, Benedicto Obiang Mangue et Tomas  Mba Monabang sont indépendants puis que leurs partis ne sont encore légalisés.

L’élection présidentielle du 24 avril prochain en Guinée équatoriale est alors sans véritable enjeu après le retrait des poids lourds de l’opposition dite radicale selon les observateurs.
SOM/