MALABONews-Malabo(Guinee equatoriale)-Le
lesbianisme au sein de la sélection féminine
de football de guinée équatoriale soupçonné et publiquement dénoncé désormais
par plusieurs serait à l’origine de l’élimination dimanche du Nzalang féminin à
Bata face au Banyana Banyana de l’Afrique
du sud,- lors du match comptant pour la qualification aux jeux olympiques de Rio de Janeiro au Brésil
en 2016.
Le
Nzalang féminin a été battu sur ses propres installations sur le score d’1 but
à Zéro dimanche au match retour.
Apres
cette disqualification à un pas, les réactions sont multiples à Malabo par
exemple où le sujet alimente les discussions, la presse n’est pas en reste pour
frapper fort sur les présumés coupables.
Le
lesbianisme qui règne au sein de cette sélection
équato-guinéenne de football où 75% de joueuses ont opté tourner le dos à l’hétérosexualité
pour jouir de leur plaisir sexuel rapporte les sources concordantes.
Mais
l’incompétence du sélectionneur l’espagnol Miguel Anguel Pozanco Pozanco et une
équipe dont l’âge des joueuses avéré aussi avancé ne sont pas épargnées parmi
les causes de cette défaite qui a mis fin à l’espoir et rêve de tout un peuple
dimanche dernier.
Le
public équato-guinéen pas mature à perdre à domicile est loin d’oublier ce
qu’il qualifie d’humiliation à la maison par les sud Africaines alors que en quatre
occasions que les deux sélections se sont rencontrées, c’est la première fois que les banana Banana
prennent le dessus sur les équato-guinéennes ² .
La
sélection féminine de football de Guinée équatoriale était jusque là une fierté nationale mais l’on déplore le manque
de relève.
Le
Nzalang féminin de Guinée équatoriale est deux fois championne d’Afrique en
2008 et 2012, mondialiste, etc.
SOM/
Alors que faire si elles sont lesbiennes? Le vrai problème est qu'il ya beaucoup de footballeuses qui ne respectent pas les critères d’éligibilité de la FIFA. Footballeuses qui sont nés au Brésil, qui avaient jamais joué dans la ligue équatoguinéenne, et qui ne disposent pas ancêtres équatoguinéens. L'équipe nationale peut avoir des lesbiennes et des anciens joueurs, alors qu'elles jouent bien. Je pense que vous critiquer un problème secondaire du Nzalang féminin, qui n'est pas un vrai problème. Le problème principal de l'équipe nationale est que, précisément, n'a pas l'identité nationale. Très peu de joueuses sont équatoguinéennes (par naissance ou par filiation), ou nationalisés par le droit chemin (après avoir vécu cinq ans dans notre pays). Cela est plus grave que le fait de savoir si elles sont ou ne sont pas lesbiennes.
RépondreSupprimerMerci beaucoup.
Patriot est pas plus exigeant que la plupart sont brésilienne au lieu de critiquer leur orientation sexuelle? quelle honte!
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