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samedi 21 décembre 2013

Guinée Equatoriale-sport-Foot :le Torchon brule Feguifut et Ministère des sports


MALABONews-Malabo(Guinee equatoriale)-Le torchon brule entre la fédération équato-guinéenne de football (Feguifutet le ministère des sports au sujet des fonds alloués par le gouvernement à l’équipe nationale de football
En effet depuis l’arrivée de Domingo Mituy Edjang Adugu  a la tete de la fédération équato-guinéenne de football Feguifut, il n’a cesse de dénoncer le blocage et détournements  des fonds alloués a la sélection de football, fonds qui lui arrive par l’intermédiaire du ministère des sports.
Suite donc aux récentes déclarations de président de la Feguifut accusant le ministère des sports d’avoir détourné  et bloqué les fonds destinés a  la feguifut pour la coupe CEMAC disputée au Gabon ou le Nzalang de Guinée équatoriale a de façon primature été éliminée avec deux défaites contre le Gabon et contre le Cameroun a Franceville.
 L’insuffisance des moyens justifie cette élimination qui selon les termes de Feguifut  est une honte pour le pays tout entier alors que le gouvernement a  débloqué les moyens indique la feguifut 
« La sélection a effectué le déplacement de Franceville avec 18 joueurs et les  autres sont restés » déplore un membre de la feguifut 
Face donc a ces déclarations et accusations qualifiées de mensonges, le ministère des sports est sorti de sa réserve par le biais de l’inspecteur général du ministère Patricio Bacale Mba
Qui fait savoir que le ministère n est pas coupable ou responsable du dysfonctionnement des sélections nationales de football car la feguifut ne parle ou s’intéresse qu’a l’argent au détriment de la tache qui est la leur.   Patricio Bacale Mba inspecteur général du ministère des sports   a dit posséder avec lui les justifications des fonds perçus par fédération de football pour l’organisations de différentes activités footballistiques.
Face donc a cette guerre des mots et déclarations, il est difficile de savoir qui du ministère ou de la fédération de football  a raison pour l’heure
Une intervention du sommet de l’état est attendue pour apaiser les tensions mais ce n’est pas la première fois que le ministère des sports équato-guinéen est accusé de détournements de fonds destinés à la fédération de football
Le ministère des sports est aussi réputé pour son ingérence dans les affaires de la sélection de football et de la fédération, on se souvient en 2012 le sélectionneur  de Guinée équatoriale le Français Henri Michel avait démissionné pour l’ingérence des autorités du ministère des sports.
SOM/

samedi 14 décembre 2013

Fin vendredi 13 décembre du 4e atelier pour le renforcement des capacités des correspondants décentralisés du MARAC a Kinshasa , république démocratique du Congo (RDC)


MALABONews-Kinshasa(RDC)-L’atelier des correspondants décentralisés du mécanisme d’alerte rapide d’Afrique centrale MARAC pour la prévention  et résolution de conflits en Afrique centrale commencé  lundi 9 et a pris fin  vendredi 13 décembre  2013 comme initialement prévu  a Kinshasa capitale de la république démocratique du Congo RDC.
Les techniques  d’observation et de  recueil  de l’information visant à prévenir les conflits, a maintenir la paix  et la sécurité dans  la CEEAC, la réception du matériel informatique et la signature des contrats par les correspondants sont entre autres points ayant marqué  ce séminaire de cinq jours  déroulé a l’hôtel Belle Vie de Kinshasa.
Le séminaire avait comme facilitateurs, ,Djerabe Djatto Bonheur ingénieur de concept informatique et les experts analystes du MARAC de la CEEAC notamment petit Lambert Ovono , Elono Daniel Pascal , Médard Oyal sans oublier le chef du bureau d’observation et collecte de l’information du MARAC, Jean Eudes Bisonga  ont  insisté sur les meilleures pratiques en  recherche ,  traitement et  transmission de l’information nécessaire pour  la paix et stabilité de dix  états  membres de la CEEAC.
Dans la conviction qu’il ne peut avoir  le développement économique et social en Afrique centrale sans la  paix et la  sécurité , la CEEAC bénéficie donc  d’un concours financier de l’union Européenne UE grâce  a  son projet d’ appui a la paix et securite (PAPS ) dont le 9e fond de développement  FED de l’UE a octroyé un montant de 4,8 millions d’Euros sur une période de 55 mois a la CEEAC pour former et renforcer les capacités humaines et techniques nécessaires pour la prévention, gestion des crises et consolidation de la paix.
Le MARAC cette structure de la CEEAC dont sa création a été décidée en 2000 mais opérationnelle depuis 2007 est encore a la recherche  d’autres partenaires économiques pour garantir sa longévité opérationnelle en faveur d’une paix durable, paix qui est  encore fragile vue par exemple la mauvaise gouvernance dans  l’espace de la communauté économique des états d’Afrique centrale.
Le  MARAC est  une structure basée au siège de la CEEAC a Libreville au Gabon.
Le MARAC fait partie intégrante du système continental d’alerte rapide (SCAR) avec lequel il a commencé a interagir de manière dynamique par sa participation aux réunions trimestrielles entre l’union Africaine UA et les autres communautés économiques régionales (CER).
Outre ce séminaire, le MARAC a déjà organisé par le passé trois séminaires pour les correspondants décentralisés dont la première   tenue a Libreville au Gabon  , la deuxième a Yaoundé  au Cameroun , la troisième a N’Djamena au Tchad
L’opérationnalité totale du MARAC est prévue en  2015, le MARAC a déjà a l’issu de cet atelier de Kinshasa les correspondants dans les 10 états  membres de la CEEAC.
En 2009 le MARAC n’avait que les correspondants décentralisés dans cinq pays de la  CEEAC.
L’atelier de Kinshasa pour les correspondants décentralisés du MARAC fini sans fausse note, l’heure est donc aux correspondants décentralisés de mettre en pratiques les connaissances acquises pour participer à l’effort du maintien de  la paix en Afrique centrale.
SOM /

mercredi 11 décembre 2013

Afrique-CEEAC-MARAC-RDC : la CEEAC renforce les capacités des correspondants décentralisés du MARAC à Kinshasa en RDC


MALABONews-Kinshasa (RDC )-La  communauté économique  des états d’Afrique centrale CEEAC organise depuis lundi 9  jusqu’au 13 décembre 2013  a Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC) le 4e séminaire pour le renforcement des capacités des correspondants décentralisés du mécanisme d’alerte rapide  en Afrique centrale MARAC  pour la prévention  et résolution pacifique des conflits et crises  au sein de la CEEAC .
C’est un total de 28 correspondants du MARAC  qui prennent part a ce séminaire dont le menu prévoit le renforcement de capacités des correspondants en matière d’observation et  collecte des informations  pour prévenir  et résoudre les conflits ou crises en temps réel en faveur d’une paix durable dans les états d’Afrique Centrale .
Les correspondants décentralisés du  MARAC sont des représentants des gouvernements des pays membres de la CEEAC dont les hauts gradés de leur police (général, colonel, commissaire, commandant), des journalistes et les représentants de la société civile.
« Le séminaire de Kinshasa du MARAC  se tient dans un conteste particulier avec  le chao dans lequel  la Centrafrique  se trouve un des pays de la CEEAC» a déclaré a l’ouverture du séminaire  le vice ministre de la coopération internationale et de l’intégration régionale de la RDC, Dismas Magbengu.
Le MARAC a pour mission de collecter les informations sur les situations susceptibles de mettre en péril la paix et sécurité des états de la CEEAC afin que les dirigeants et les organisations puissantes comme union Africaine (UA) ou l’ONU prennent les décisions pour empêcher ou résoudre le conflit ou la crise a temps.
La CEEAC est composée du Congo, de la Guinée équatoriale, du Gabon, de l’Angola, de Sao Tomé et Principe, Cameroun, Tchad, Centrafrique, Burundi et la république démocratique du Congo (RDC)

SOM/





mardi 10 décembre 2013

Afrique –Monde –Afrique du Sud: qui a été Nelson Mandela pour les présidents Africains qui s’accrochent au pouvoir



MALABONews  Kinshasa (RDC)- Les chefs d’Etat Africains qui s’accrochent au pouvoir dont beaucoup vont se rendre aux Obsèques de Madiba et ont décrète les journées de deuil dans leur pays qu’il dirige d’une main de fer, corruption et autres doivent  –ils désormais  permettre l’alternance et travailler au profit de leur peuple vivant dans la misère encore  alors qu’ils amassent toutes les richesses de leur pays et les gâchent  comme ils veulent.
Comment messieurs les présidents qui s’accrochent au pouvoir en Afrique allez juger l’hommage rendu ce mardi à Madiba, un hommage dit mondial, pour quoi vous ne voulez pas avoir les mêmes honneurs parce que vous aimez le pouvoir.
Nous voulons donc attirer votre attention de Malabo à Brazzaville, de Ndjamena  à Luanda  passant par  Yaoundé  etc, l’Afrique centrale est-elle très  concernée, le constat sur la longévité des chefs d’état de cette région au pouvoir fait  grincer les dents et c’est une honte ou les gens ont sur les lèvres démocratie, démocratie, émergence, émergence.
Si Nelson Mandela a fait leçon aux occidentaux et Américains pour son Pardon, la recherche de la Paix mais vous qui confisquez le  fauteuil présidentiel quel est votre bilan et qu’est ce qui a été fait pour le bonheur de vos populations.
Qu’est ce qui est de meilleur à vivre après avoir dirigé un pays et céder la place à d’autres.
Pour quoi prendre le pouvoir pour une affaire de famille ?
La disparition de Mandela étant donc une grande perte pour le monde, Madiba nous ne pouvons que te dire et reconnaitre les valeurs d’homme qui aujourd’hui personne ne peut douter et ne doit ignorer.
repose en paix.
SOM /


jeudi 5 décembre 2013

Guinée Equatoriale-presse: La liberté de presse et d’expression prises en otage par les politiques équatoguinéens (l’émission radiodiffusée et socio-culturelle , ‘’ Cultura en casa’’ a nouveau épinglé pour le franc parler des présentateurs.



MALABONews-Malabo (Guinée équatoriale) L’émission socio-culturelle  diffusée de lundi à vendredi à la radio nationale de Guinée équatoriale dénommée’’ Cultura en Casa’’ culture au foyer en Espagnol vient à nouveau être suspendue jusqu’à nouvel ordre par les autorités du ministère de l’information, presse et  radio de Guinée équatoriale.
La diffamation, discréditation des personnes physiques et juridiques ,état constant d’ivresse  et le non-respect du contenu original de l’émission par les présentateurs Amparo Obaha Efua et Patricio Menie Abeme Micha sont autant de choses que l’on reproche et qui ont conduit à la suspension temporaire de la seule émission qui donne la parole a tous les citoyens et qui traite les sujets sensibles.
Selon une note adressée a la directrice présentatrice de l’émission ``Cultura en Casa´´ Amparo Obaha Efua dit Amparin, l’émission peut reprendre si seulement elle la  « réoriente a l’éducation et moraliser la femme Equatoguineenne dans les valeurs socio-culturelles ».
Cependant, le fait d’avoir traité l’insécurité mettant en cause la faiblesse de la justice et la complicité des hauts gradés de l’armée dans les agressions a mains armées par les agents de forces armées et de sécurité semble-être la vraie raison de cette nouvelle suspension de l’émission radio Cultura en Casa depuis le 7 novembre selon un document que nous avons obtenu la copie.
Notre question ici est celle de savoir a quand et jusqu’ou le blocage de la liberté d’expression  et d’opinion qui sont les droits de l’homme à ne pas violer selon l’article 19 de la déclaration universelle des droits de l’homme des nations unies.
Pour les autorités du ministère se contente de  la censure, des entraves à la liberté de la presse ,obliger les journalistes employés a la propagande en faveur du régime, et autorités gouvernementales etc. au détriment du vrai rôle de la presse qui est chercher et informer que la vérité.
Pour quoi elles ne veulent pas que leurs journalistes soient à la hauteur des nouvelles techniques rédactionnelles, de nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC).
Pourquoi ne pas admettre d’autres radios et télévisions privées et indépendantes  pour la diversification et pluralisme de sources dans le pays alors que les pays limitrophes comme le Gabon, le Cameroun ou encore la Centrafrique ont relevé ce défit
Pour quoi ce manque de volonté  des décideurs de Guinée équatoriale et pourquoi  ont-ils  peur de la presse libre, parce qu’il y a manque de transparence dans la gestion des affaires de l’état?
Bien à noter que sans presse libre ou indépendante pas de démocratie ni à l’Africaine ni l’Equatoguineenne.
SOM/