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mardi 27 septembre 2016

AFRIQUE –CEEAC –PRESIDENTS : la force gagne la volonté du peuple/ coup de gueule




Malabonews-Malabo(Guinee equatoriale)-La zone de la communauté économique des états de l’Afrique centrale (CEEAC) qui comprend les pays suivants, le Cameroun, la guinée équatoriale, le Gabon, le Tchad, le Congo Brazzaville, la république Centrafricaine (RCA), le Sao Tome et Principe, le Burundi, le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC) connait un panorama politique très flou provoqué par les chefs d’ états dits de « force » qui sont prêts a tuer leur peuple pour conserver leur chaise présidentielle .

Parmi ces dix pays, le petit état de Sao Tome et Principe est l’exception et la bas on parle et pratique le mot «  démocratie »  puisque l’alternance se fait sans ambages  et sans problèmes ce qui n’est pas  le cas dans le reste des neuf autres pays de cette sous région.

Dans le reste de neuf autres pays, le constat est donc  tres amer, de Malabo à Bujumbura passant par Kinshasa  et  de N’Djamena  à Libreville passant par Brazzaville on se rend compte qu’organiser les élections présidentielles est un théâtre monté  de toutes pièces par les présidents au pouvoir qui attendent grâce à, leurs manœuvres honteuses pour se maintenir au pouvoir, leur  temps de sommeil  eternel.

Alors si ces derniers ont décidé  ainsi, il est urgent pour nous de poser la question de savoir pourquoi organise-t-on les élections présidentielles, quand on sait bien que ces présidents dont certains ont même accédé au trône par des coups d’état  ne peuvent jamais accepter l’alternance tant qu’ils sont encore en vie dans ces pays.

Gagner l’élection ou pas c’est toujours lui, le président, comment pouvons nous ou eux-mêmes justifier  leur légitimité quand on sait que l’expression du peuple dans les urnes ne leur dit rien du tout en faveur de leur  volonté et ambitions.

Il est très difficile et douloureux de constater que tous ces présidents  ont sur leurs lèvres le mot « Démocratie », doivent-ils prononcer le mot démocratie ? Ou alors le mot « Force ».

Vous conviendrez donc avec moi qu’il  est obligatoire qu’ils abandonnent  définitivement le mot démocratie car la démocratie est un pourvoir donné par le peuple et pour le peuple ce qui n’est pas le cas dans cette zone CEEAC ou seule la force est le seul moyen utilisé pour s’éterniser au pourvoir.

Dans cet article certains pourront se poser la question de savoir, c’est quoi la force ou bien s’agit-il de quelle force.

Il s’agit de la force  des moyens de défense et sécurité de l’état souvent utilisés pour intimider , massacrer et autres atteints à la vie des habitants dont le seul objectif est de se maintenir coute que coute au pouvoir .

La crise poste électorale au Gabon parce que la réélection de monsieur Ali Bongo est contesté, les problèmes  au Congo Brazzaville à cause du changement de la constitution pour que Denis Sassou Nguesso se représente, en RDC le prolongement de mandat de Joseph Kabila au Burundi Pierre Nkurunziza inflexible après avoir violé les accords d’Arusha qui stipulaient qu’il n’avait plus raison de se présenter encore candidat, au Tchad Idriss Deby fait disparaitre les soldats qui ne l’avait pas  voté

Bref le constat est triste et très douloureux car  toutes ces situations sont accompagnées des massacres des personnes parce qu’ils expriment simple leur droit de refus face a ces présidents qu’ils trouvent incapables pour changer leurs conditions de vie.

Exprimer son opinion, marquer son refus parce que vous  trouvez que la gestion est  chaotique, autorise qui que ce soit à vous poursuivre ? Pire encore tuer ?, on appelle cela « Diable »  cet esprit diabolique de ces présidents de force qui n’hésitent pas de demander à la police, gendarmerie et forces armées d’ailleurs mêmes sous formées de tirer à balles réelles sur les populations mains levées.

Vous les forces de maintien de l’ordre et l’armée Africaines quand est ce que vous allez comprendre que vous n’êtes pas au service du président de force, et que vous êtes là  pour la nation à laquelle nous appartenons tous.

Ce matériel belliqueux utilisé contre les opposants et populations qui revendiquent leurs droits n’est pas celui du président  de force, mais celui de tout les citoyens de ce pays.

Quand est ce  que vous allez contredire la « sous formation » dont on vous accuse.

Regarder vous avez tué vos compatriotes  au Gabon, RDC, Burundi etc.  Pour prendre que ces situations  récentes de l’histoire de la zone CEEAC,  ceci pour défendre un seul homme et tuer des dizaines de vos frères, mères, sœurs etc. dans  quel état d’esprit vous vous trouvez maintenant ?

Cela  se justifie par quoi à votre avis  vous les hommes en tenue.

Ce genre d’agissement  ne vous fait pas honneur et  remet en cause  vos formations.

Pourquoi se montrer vaillant face aux pauvres personnes non armée, il est  donc évident de vous notifier que  Boko haram sévit dans votre région et votre incapacité est notoire pour mettre hors état de nuire ces islamistes  Nigérians.

Cependant la volonté de la population exprimée dans les urnes doit être respectée et vous l’union Africaine (UA) réputée pour son manque de prises des décisions qui s’imposent et de connivence avec les régimes de force , la communauté internationale n’est pas en reste il est temps pour que vous , arrêtez de vous contenter que des  grands appels au calme et à la retenue alors que les  populations sont tuées par les faucons qui ne se soucis que de leur poste de président de la république peu importe la  manière ou le moyen pour y être à ce poste de la magistrature suprême

Votre manque d’action pour protéger les populations en danger, vous rend complice des pertes de  vie des hommes mains vides par les régimes de force  dans les pays de la zone CEEAC de l’Afrique centrale où envisager l’alternance au pouvoir est devenue un crime.

-Les couleurs de sang pour se maintenir au pouvoir, rappel des faits

C´est le président Burundais pierre Nkurunziza qui a donne le coup d´envoi en massacrant tous ceux qui s´oppose a son maintien au pouvoir, le Congo Brazzaville a emboite le pas, emprisonnement des opposants et éliminations physiques , Ndjamena capitale du Tchad a fait disparaitre ses militaires a Malabo le résidence privée de l´opposant Gabriel Nze Obiang est attaque en pleine nuit peu avant le élection présidentielle du 24 avril, bilan triste, Libreville copie la même chose et les forces armées et de sécurité attaquent le QG de Jean Ping principal opposant, on connait le bilan, la RDC dont l´épilogue de feuilleton actuel sera sans doute delitere fait fortement battre les cœur après les attaques qui ont visées les sièges des partis politiques et le carnage perpétré par les militaires de Kabila qui est en pleine manœuvres dilatoires pour rester au pouvoir.

L´Afrique centrale doit-elle continuer sur cette voie ? Dommage
SOM/

Guinée équatoriale-educqtion-grossesse: ecoles sans filles enceintes



Malabonews-Malabo(Guinee equatoriale)- Les jeunes filles enceintes ne sont plus admises dans les établissements  scolaires primaires et secondaires  en Guinée équatoriale  dans le but de dissuader les mineures à se protéger  contre les grossesses précoces et non désirées  a indiqué mardi à la télévision d’état la vice ministre de l’éducation, Maria Jésus Nkara.

« Nous appliquons cette mesure pour les élèves du primaire et du secondaire parce que c’est la ou on trouve les mineures et nous pensons que c’est de cette manière qu’elles pourront se protéger pour éviter les grossesses précoces et non désirées » a  expliqué Maria Jésus Nkara en s’appuyant sur un arrêté du de son ministère.

La mesure est appliquée à partir de cette rentrée  scolaire 2016-2017 qui a officiellement eu lieu le 19 septembre dernier où le  résultat du test de grossesse est  donc  la condition sine qua non  pour formaliser son inscription.

La décision divise les équato-guinéens,  car certains parlent de la discrimination, d’une violation d’un droit universel, le droit à l’éducation et une violation d’un  des  dix objectifs du millénaire.

En revanche la majorité des équato-guinéens  saluent cette décision puisqu’ils estiment que cela contribuera à la prévention des grossesses précoces et non désirées chez les mineures.

Le fait que des mineures enceintes s’occupent souvent de leur état de grossesse au détriment des études, mauvais exemple parmi  les autres et d’autres mauvaises connotations sont autant d’autres raisons  qui justifient la bienvenue et le bien fondé de  la décision saluée par plusieurs  a -t-on appris  auprès  des personnes contactées.

En Guinée équatoriale trois sur cinq filles de 13 à 18 ans tombent enceinte à cause de la pauvreté  selon les sociologues et la perte d’autorité des parents sur les enfants  selon les traditionnalistes.

Le système éducatif équato-guinéen est fragilisé par la vente de bonnes notes  contre  de l’argent justifiée par les salaires dérisoires des enseignants.
SOM/