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jeudi 24 avril 2014

CEEAC-MARAC: la CEEAC oeuvre pour la prevention des crises et conflits en Afrique centrale,d'où la formation des ressources humaines



MALABONews-Douala (Cameroun)-Les correspondants décentralisés du mécanisme d’alerte rapide d’Afrique centrale (MARAC) chargé au sein de la Communauté économique des états d’Afrique centrale CEEAC, de la collecte et analyse des données en vue de  la surveillance et  prévention des crises et conflits dans 10 pays d’Afrique centrale  sont sur les bancs depuis   mercredi  23 avril 2014 à Douala au Cameroun pour apprendre les techniques de collecte de l’information.
Les correspondants décentralisés du MARAC sont  membres de la société civile, journalistes, forces armées et police et represents de gouvernement, vont  durant trois jours apprendre outre la méthodologie de la collecte de l’information mais aussi  renforcer leurs capacités  sur l’utilisation des outils de  collecte, stockage et analyse  de l’information sur les faits susceptibles de troubler la paix et mettre en péril la sécurité des états de la CEEAC.

Les participants feront à l’occasion un tour sur la situation sécuritaire, socioéconomique et humanitaire de chacun des 10 pays membres de la CEEAC en proie à des crises post électorale, coup d’état etc.
La crise en  Centrafrique et ses conséquences déplorées, figurent  au menu des discussions de ce séminaire  financé par le programme Facilité et paix de l’union européenne pour permettre à la CEEAC de développer ses capacités.
Le mécanisme d’alerte rapide d’Afrique centrale MARAC mise en œuvre en 2007 fait partie intégrante du système continental  d’alerte précoce en vue de surveiller et  prévenir à temps les crises et conflits
La CEEAC est composée du Cameroun, Guinée équatoriale, Gabon, République démocratique du Congo, Tchad, RCA, Congo Brazzaville, Burundi , le Sao tome et principe et l'Angola..
SOM/

mercredi 16 avril 2014

Guinée équatoriale-Espagne: nueages entre Madrid et Malabo

MALABONews-Malabo(Guinée équatoriale)-Malabo menace de rompre ses relations diplomatiques avec l’Espagne et abandonner l’espagnole comme langue Officielle du pays si l’Espagne continue  de  ´´ traiter avec le manque de respect et manque de dignité la Guinée équatoriale´´ indique un communiqué du gouvernement.
« Ça ne sera pas une insolite que la langue espagnole disparaisse en Guinée équatoriale comme ce fut le cas dans les îles de Philippine, la Guinée équatoriale décline toute responsabilité sur le future de des relations diplomatiques entre l’Espagne et la Guinée équatoriale » indique le communiqué gouvernemental
A l’origine, la déclaration du chef de gouvernement Espagnol Mariano Rajoy  qui a indiqué que l’Espagne doit « chercher une solution intelligente en Guinée équatoriale » suite aux  critiques et reproches qui lui ont été faites au congrès  des députés espagnols parce qu’il a  salué le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo au quatrieme  sommet UE-Afrique à  Bruxelles en debut avril 2014.
L’invitation à Teodoro  Obiang Nguema pour assister aux obsèques a Madrid  d’Adolfo Suarez ex- chef du gouvernement Espagnol, et la conférence que  le président Teodoro Obiang a animé à l’institut Cervantès de Bruxelles en marge du sommet sur la langue Espagnol en Afrique sont également  critiquées et reprochées au chef du gouvernement Espagnol.
L’auteur de ses reproches, l’honorable porte-parole du Parti nationaliste basque (PNV) Aitor Estéban a également souligné que  l’Espagne a des responsabilités qu’à l’égard des citoyens de la Guinée équatoriale, et non envers le gouvernement d’un pays qui n’est pas démocratique.
Aitor Esteban a enfin  reproché  au Chef du gouvernement espagnol « de n’avoir pas prêté suffisamment d’attention à l’opposition politique équato-guinéenne »
Informé de cette situation, Malabo ne cache donc pas sa colère contre son colonisateur et qualifie de discriminatoire ce  traitement.
Ce n’est donc  pas la première fois que le torchon brule entre Madrid et Malabo car la Guinée équatoriale reproche à l’Espagne de s’immiscer dans sa politique intérieure tandis que l’Espagne reproche à Malabo de violer les droits de l’homme, manque de démocratie etc.
A rappeler que la Guinée équatoriale est l’unique  et ancienne colonie Espagnole en Afrique.

SOM/

Banque Mondiale-Afrique: la Banque mondiale va financer 19 centres d’excellence visant à transformer la science, la technologie et l’enseignement supérieur en Afrique

MALABONews-Malabo(Guinée équatoriale)Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale vient d’approuver le financement de 19 centres d’excellence au sein d’universités localisées dans sept pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, pour une enveloppe de 150 millions de dollars. Les centres sélectionnés sur concours bénéficieront d’un financement visant à soutenir des filières d’enseignement spécialisées dans les domaines de la science, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM), mais aussi de l’agriculture et de la santé indique un communiqué de la banque mondiale du 15 avril 2014


Ce projet phare de centres d’excellence africains (CEA), grâce auquel les étudiants du continent pourront être dotés de compétences scientifiques et techniques de pointe, sera financé par des crédits de l’Association internationale de développement (IDA) à huit pays : Nigéria (70 millions de dollars), Ghana (24 millions), Sénégal (16 millions), Bénin, Burkina Faso, Cameroun et Togo (8 millions chacun), la Gambie bénéficiant quant à elle d’un crédit de 2 millions de dollars et d’un don de 1 million de dollars pour permettre à des étudiants, des enseignants et des fonctionnaires d’accéder, notamment via des formations de courte durée, à l’enseignement supérieur à travers les 19 CEA.
« Je me réjouis de soutenir la création de ces centres d’excellence parce qu’il s’agit d’un pas de plus vers la création d’établissements supérieurs de niveau international sur le continent, a déclaré Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la Région Afrique« Il n’y a pas, à mes yeux, de meilleure façon de doper l’économie des pays africains, créer des emplois et soutenir la recherche, que de former de jeunes diplômés dans des filières très recherchées comme le génie chimique, l’agronomie ou la lutte contre les maladies infectieuses».
L’Afrique connaît en effet de graves pénuries de main-d’œuvre qualifiée dans des secteurs en plein essor comme les industries extractives, l’énergie, l’eau et les infrastructures, mais aussi la santé et les télécoms. Ainsi, faute d’avoir suffisamment de travailleurs qualifiés dans le secteur extractif, le pétrole et les minerais extraits sur le continent sont expédiés ailleurs pour être transformés, ce qui pénalise les industries africaines et, par ricochet, le marché de l’emploi. L’Afrique manque aussi cruellement de personnel de santé formé capable d’offrir des services de qualité aux futures mères. Une situation qui peut expliquer en partie le niveau toujours dramatiquement élevé du taux de mortalité maternelle en Afrique (500 décès pour 100 000 naissances vivantes).
Enfin, l’Afrique a besoin de forger ses propres solutions en matière de recherche et d’innovation, afin de s’atteler à ses défis de développement, qu’il s’agisse du changement climatique, qui impose de trouver de toute urgence des moyens d’améliorer les rendements agricoles, ou des maladies infectieuses, qui continuent de prélever un lourd tribut sur les familles et les économies. Mais en Afrique, la proportion de chercheurs dans la population active reste excessivement faible : pour la recherche et le développement (R&D) par exemple, le Burkina Faso et le Nigéria ont un ratio de 45 et 38 experts par million d’habitants, contre en moyenne 481 et 1 714 respectivement en Amérique latine et Asie de l’Est.
Les nouveaux CEA financés par la Banque mondiale représentent une solution régionale intégrée, économique et efficace visant à renforcer l’offre de services de R & D, dans un contexte de budgets publics restreints. La coordination et le partage de connaissances entre les 19 CEA seront assurés via l’Association des universités africaines (AUA), un partenaire régional incontournable qui a reçu, à cet effet, une subvention de 5 millions de dollars.
« Les étudiants d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale ont impérativement besoin de programmes scientifiques et technologiques de qualité pour pouvoir se positionner sur les marchés régionaux et mondiaux de l’emploi, sachant qu’aucune université de la région ne figure actuellement dans les palmarès consacrant les 500 meilleurs établissements de la planète », a souligné Peter Materu, responsable du secteur de l’éducation pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale à la Banque mondiale. « Le projet de centres d’excellence africains est une initiative gagnant-gagnant, car elle va aider les jeunes à satisfaire leurs aspirations sans devoir s’expatrier et elle va aider les entreprises à trouver des profils pointus sans devoir faire appel à des expatriés et, ce faisant, à renforcer leur compétitivité sur les marchés internationaux ».

Les centres d’excellence africains en bref
Centre d’excellence africain
Institution et pays chef de file
Discipline
    Développement agricole et environnement
    Université fédérale d’agronomie, Nigéria
Agriculture
    Formation de sélectionneurs de plantes, d’experts en semences et de techniciens
    Université du Ghana, Ghana
Agriculture
    Sciences avicoles
    Université de Lomé, Togo
Agriculture
    Agriculture adaptée aux zones arides
    Université Bayero, Nigéria
Agriculture
    Recherche et technologie vivrières
    Université de l’État de Benue, Nigéria
Agriculture
    Génomique des maladies infectieuses
    Université Redeemers, Nigéria
Santé
    Biologie cellulaire des agents pathogènes infectieux
    Université du Ghana, Ghana
Santé
    Maladies tropicales négligées et biotechnologies médico-légales
    Université Ahmadu Bello, Nigéria
Santé
    Recherche et développement en phytothérapie
    Université de Jos, Nigéria
Santé
    Santé reproductive et innovation
    Université du Bénin, Nigéria
Santé
    Santé maternelle et infantile
    Université Cheikh Anta Diop, Sénégal
Santé
    Étude des matériaux
    Université africaine de science et  de technologie, Nigéria
STIM
    Mathématiques appliquées
    Université d’Abomey – Calavi, Bénin
STIM
    Technologies de l’information et de la communication
    Université de Yaoundé I, Cameroun
STIM
    Science et technologie dans le domaine de l’eau, de l’énergie et de l’environnement
    Institut international d’ingénierie de l’eau et de l’environnement (2iE)
STIM/ Agriculture
    Produits chimiques destinés à l’industrie pétrolière
    Université de Port Harcourt, Nigéria
STIM
    Eau et assainissement de l’environnement
    Université de science et de technologie Kwame Nkrumah, Ghana
STIM
    Science, technologie et savoir
    Université Obafemi Awolowo, Nigéria
STIM
    Mathématiques, informatique et TIC
    Université Gaston Berger (Saint-Louis), Sénégal
STIM

mardi 15 avril 2014

Guinée équatoriale-Nigeria: l'ex president du Nigeria Olesegun Obasanjo a visité le president Teodoro Obiang Nguema



MALABONews-Malabo (Guinée équatoriale)-L’ex président du Nigeria Olesegun Obasanjo a réalisé une visite de 24 heures lundi 14 avril en Guinée équatoriale.
Le président Teodoro Obiang Nguema a recu l’ex président  du Nigeria dans sa ville natale Mongomo.
Le but de la visite d’Obasanjo en Guinée équatoriale n’a pas été révélé à la presse.
 Le président Teodoro Obiang Nguema va souvent offrir l’aide financière à ses homologues et amis dans sa ville natale Mongomo selon  les rumeurs.
Durant la visite, Olesegun Obasanjo a visité la place de trois présidents de Mongomo, la basilique immaculada concepcion de Mongomo etc.
Abord d’un jet privé, l’ex président du Nigeria est rentré après avoir visité les infrastructures et lieux touristiques de la localité.
SOM 

lundi 14 avril 2014

Guinée équatoriale-Foot-FIFA: un membre de la FIFA Primo Corvaro accusé de partialité et d'ingerence dans les affaires interieures de la Feguifut


MALABONEws-Malabo (Guinée équatoriale)-Les Clubs de première division ont décidé dimanche d’arrêter de jouer le championnat national de football après deux journées seulement
Aucun match n’a donc été dispute  sur tous les matches programmés dimanche.
A l’origine le maintien de l’actuel président de la Feguifut Domingo Mituy Edjang déso
rmais contesté.
« Nous ne jouons plus le championnat jusqu’au départ de Domingo Mituy Edjang » a déclaré Inocencio Nkogo président de l’association des clubs de football fédérés (AEFF) auteur de la motion de censure contre Domingo Mituy Edjang
Lors de l’assemblée générale extraordinaire de la Feguifut du dimanche 13 avril a Malabo convoqué suite a la présentation de la motion censure contre Domingo Mituy Edjang, les 33 délégués sur 36 ont voté  17 voix en faveur du départ de Domingo Mituy Edjang contre 16 voix pour qu’il continue a la tête de la feguifut.
Malgré ce résultat au détriment de Domingo Mituy, il demeure le président de la Feguifut suite à l’équation 2/3 présentée par Primo Corvaro représentant de la FIFA
« Domingo Mituy est encore président puisque le oui n’a pas atteint les 2/3, c a d sur 33 voix, il a fallu 22 voix exprimées en faveur de oui pour que Domingo Mituy soit destitué c’est l’équation appliquée dans le cas de la motion de censure » a expliqué le représentant de la FIFA.
Cette décision  de Primo Corvaro de la FIFA est venue mettre du poudre au feu du coup la tension est montée d’un cran, certains avaient même pris position de s’échanger des coups de poing car les opposants de Domingo Mituy disent que  la règle de 2/3 n’a pas été prise en compte quand il a été élu le 26 janvier 2013.
Face a cet impasse, une délégation composés d’opposants de Domingo Mituy va se rendre au siège de la FIFA pour trouver une solution de sortie  de crise  puis qu’ils soupçonnent   l’émissaire de la FIFA, Primo Corvaro d’un proche de Domingo Mituy d’où son rôle partiel, ingérence etc. .
Domingo Mituy Edjang est accusé de détournements des fonds de la fédération, mepris, insolence, violation des statuts etc.
Pour sa part Domingo Mituy  supporté au moins par le public rejette en bloc ces accusations laissant savoir qu’il y a une main noire derrière c'est-à-dire ingérence de certains membres du gouvernement qui font la  manipulation.
A faire donc à suivre.
SOM
I

mardi 8 avril 2014

Guinée équatoriale:les Equato-guinéens mis en garde contre la viande des animaux sauvages

MALABONEws-Malabo(Guinée équatoreiale)-Le ministère équato-guinéen de la Santé demande  à la population d’éviter de s’approcher, voire de ramasser ou de consommer la viande des animaux sauvages trouvés morts.

Bien qu'aucun cas de la maladie hémorragique n'a été détecté dans le pays, les autorités ont tenu à prendre devants et, en plus des avertissements par voie de communiqués, elles ont lancé, surtout à Malabo, la capitale, une campagne de sensibilisation auprès des populations sur les tenants et aboutissants du virus Ebola.

Les équipes sanitaires ont également été déployées dans les différentes frontières terrestres, maritimes et aériennes du pays en vue de détecter au plus vite tout éventuel porteur du virus d'Ebola.

La fièvre hémorragique d'Ebola sévit actuellement en Guinée Conakry, bien que le virus soit originaire d'Afrique centrale, notamment en République démocratique du Congo. Certains cas auraient même été détectés au Gabon voisin.

85% de la population équato-guinéenne consomme la viande de brousse provenant de la forêt équatoriale qui couvre la quasi-totalité du pays et favorise d'intenses activités de chasse.
  SOM/

Guinéeéquatoriale`: reunion des ministres des finances de la zone franc tenue à Malabo du 3-4 avril.

Malgré le refus ou l'oubli on ne sait pas des organisateurs des evenements en Guinée équatoriale a tenir informer la presse independante sur le deroulement de leurs activités, vous pouvez comprendre que c'est pour cette raison que nous donnons defois certaines informations avec un retard, mais mieux vaut tard que jamais.
MALABONews-Malabo(Guinée équatoriale)-Les pays Africains de la zone Franc regroupés au sein de l’union économique et monétaire ouest Africain (UEMOA) et communauté économique et monétaire d’Afrique Centrale (CEMAC) connaitront les perspectives économiques favorables pour 2014 avec une accélération de la croissance qui doit atteindre 6,8% dans l’UEMOA  contre 5,8 % en 2013 et 6,1% dans la CEMAC contre 2,3% en 2013 tandis qu’aux Comores, la croissance atteindrait 3,9% contre 3,5% en 2013.
Cette amélioration des chiffres par rapport à 2012 et 2013 s’explique par une demande intérieure soutenue et une amélioration de la production pétrolière et gazière indique un communiqué de presse de la réunion des ministres de finances de la zone franc tenue à Malabo qui a regroupé outre les ministres des finances, mais aussi les gouverneurs des banques centrales et les présidents des institutions régionales de la zone franc.
La progression des prix devrait rester contenue en 2014 sous le plafond de 3% dans chacune des unions monétaires. Une amélioration des soldes budgétaires  se produira grâce à une hausse des recettes fiscales.
Le déficit budgétaire dans l’UEMOA se contracterait pour revenir à 0,3% du PIB contre 1,1% alors que dans la CEMAC l’excédant budgétaire progresserait de 3,2% contre 0,6 en 2013.
La réunion de Malabo  a invité les  états  de la zone franc à renforcer l’intégration commerciale en levant les obstacles qui subsistent au commerce intracommunautaire
L’espace CEMAC est concerné où la libre circulation des personnes doit être rendue effective dans tous les pays recommande la réunion.
En revanche l’intégration financière demeure contraster entre deux sous régions
En zone UEMOA, le marché bancaire connait une activité significative  alors que en CEMAC le marché bancaire reste peu actif  avec un nombre limité de transactions regionales entre les banques.
La prochaine reunion des ministres des finances de la zone franc aura lieu le 3 octobre 2014 à Paris en France, occasion donc pour examiner les propositions économiques, comme le projet de fondation franco-africaine pour la croissance en Afrique  destinée à stimuler la relation économique entre l’Afrique et la France et  à développer le capital humain. 

SOM

Guinée équatoriale-Petrole-Gaz: un reportage sur la gestion des revenus tirés du Petrole et Gaz en Guinée équatoriale

MALABONews-Malabo(Guinée équatoriale)-La Guinée équatoriale petit pays situé au fond du golfe de Guinée est devenue un eldorado de l’Afrique.
Elle connait un  boom pétrolier depuis l’an 2000 mais la gestion de revenus du pétrole et gaz peu transparente maintient   encore une bonne partie de sa population dans la pauvreté 
A Malabo comme ailleurs  les recettes pétrolières ont transformé le pays certes mais beaucoup reste encore à faire dans ce  pays de 28 mille  KM2 de superficie ou le PIB par habitant est de 22343 dollars.

ou les ecoles font encore defaut et manque total d'industrie.
suivez le reportage  Samuel Obiang Mbana-