La nuit dans les rues d'Addis-Abeba
MALABONews (ADDIS –ABEBA) L’Ethiopie ce pays Africain non colonisé situé dans
la corne de l’Afrique reste malgré un développement infrastructurel rapide, la misère et la prostitution deviennent de plus en plus accrues dans les
rues d’Addis -Abeba.
En journée les mendiants font à certains regretter d’être venus dans
ce pays où se trouve le siège de l’union Africaine (UA) et la Commission économique des nations
unies pour l’Afrique (CEA).
Les ambassades de la majorité des pays du monde sont
également présentes à Addis -Abeba.
Dans la nuit, les
miséreux cèdent place aux prostituées qui abondent tous
azimuts dans les rues et discothèques de la capitale Ethiopienne.
« Tu veux, tu
veux faire les rapports sexuels ?, mon sexe est bien, je suis très bien
» avançait en ces termes à un journaliste Tchadien devant l’hôtel Central Shoe, une jeune Ethiopienne d’environ 17 ans vers 21 heures.
En face du coin,
de l’autre cote de la rue d’autres
jeunes filles alignées le long de la rue ne laissaient aucun sexe masculin
passer sans attaquer.
Pour la majorité s’exprime en langue nationale d’Ethiopie,
Amharique au détriment de l’Anglais ou Français que parlent les visiteurs et
conférenciers.
Mais malgré, les gestes
de sourd muet sauvent pour obtenir
satisfaction.
Les prostituées
Ethiopiennes vue la quantité, demandent en contrepartie d’un coup de rapport sexuel
,20 dollars Américains pour celles se mesurant leur taille aux
poteaux électriques et 100 dollars
pour celles rencontrées par exemple à Tam-Tam,discothèque réputée pour sa variété de musique Africaine ou
encore Concorde ce dernier véritable
carrefour pour les ressortissants
occidentaux.
Les rapports
sexuels contre de l’argent excessivement et publiquement pratiqués à Addis
–Abeba ou bien la prostitution à
Addis-Abeba doit-il être un sujet à
introduire dans l’agenda de
l’organisation continentale UA.
« On n’a pas
de choix » a déclaré en rapport à la prostitution à Addis Abeba un
diplomate en poste.
« Vous-mêmes
voyez ces beautés, on ne peut pas résister» a poursuivi le même diplomate sous
couvert d’anonymat.
Outre la
prostitution l’arnaque est une autre culture Ethiopienne pratiquée par tous les
âges.
« Le manque
de ressources naturelles et une forte population 85 millions déjà expliqueraientt
cette situation de pauvreté et misère difficile a disparaitre » estiment certains visiteurs
à Addis-Abeba ou le tourisme génère de grands bénéfices.
Addis –Abeba, la capitale
d’Afrique choisi par les africains à
cause de son histoire marquée par la résistance ou refus de subir une colonisation occidentale comme
le reste des pays Africains.
SOM/
C'est vrai quand je suis venue en expat en 2006, la prostitution était limitée et très localisée. Mais lors de mon départ définitif en 2010, la prostitution s’était largement étendue dans les quartier, dès la nuit tombée, la ville appartient au monde du sexe et de l'argent. Je pense qu'elles sont jeunes, voire très jeunes.
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