MALABONews-Malabo(Guinée équatoriale)-Malabo hausse le ton devant les entreprises Chinoises chargées par
exemple de la construction des logements sociaux ou encore du bitumage des routes .
suite au constat de la mauvaise qualité des
travaux, non respect de délais et arrêt total de certains chantiers ou travaux.
C'est le ministre en charge des
infrastructures qui a dénoncé le comportement de ces entreprises chinoises que
le gouvernement confie presque tous les
grands travaux de développement.
Face à la menace du ministre des
infrastructures Juan Nco Mbula,les responsables de ces entreprises Chinoises
ont notifié que les complications liées à l'obtention des visas pour leurs
ouvriers venus de la Chine sont à l'origine de ces constats.
Faux rétorque le ministre des infrastructures
de Guinée équatoriale qui a déclaré que
cette raison est peu
convaincante tout en leur demandant pour quoi ne pas recruter la main d’œuvre
Africaine ou locale en attendant la concession des visas à leurs ouvriers.
En claire
le retard accusé dans le réglage des
facteurs est une des vraies
raisons de ce débrayage pour certaines, et la réduction des factures pour
d'autres de ces entreprises Chinoises.
La Chine a gagné la confiance auprès de Malabo
pour la réalisation de grands travaux malgré une mauvaise qualité dénoncée pour
la première fois par un membre du gouvernent équato-guinéen.
Les entreprises Chinoises comme China Dalian,
China Road construisent les logements sociaux,elles ont construit le premier
barrage hydroélectrique de Djibolho de 120MW,les Chinois ont construit le stade
de football de Bata ou l'on avait disputé les matchs de la coupe d'Afrique des
nations de football 2012 etc.
La Chine est alors un ancien Partenaire privilégié et stratégique de Malabo grâce a sa coopération gagnage-
gagnante selon le président Teodoro Obiang Nguema
la Chine et la Guinée équatoriale coopèrent en
matière de santé, sécurité,hydrocarbures,construction etc
mais les chinois aussi omniprésents dans tous
les commerces en Guinée équatoriale sont soupçonnés de falsifier les coupures de banque ou FCFA
et de corruption.
SOM/
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