Palais de justice à Malabo |
L'Ong des droits de l'homme a appelé les autorités équato-guinéennes à donner les informations transparentes sur la mort en détention de deux des jeunes arrêtés dans le cadre de cette Opération nettoyage.
"Les autorités de la Guinée équatoriale doivent de toute urgence donner des informations transparentes sur les cas de mort en détention, de torture et d'autres mauvais traitements" et "veiller à ce que les délinquants présumés soient traduits en justice dans le cadre de procès équitables", selon l'ONG de défense des droits de l'homme.
L'opération nettoyage" -- Operación limpieza en espagnol, une des trois langues officielles-- a été lancée début mai, en déployant 800 policiers, après une énième attaque massive des Huit machettes, le gang le plus redouté responsable des assassinats, vols et viols en quelques années dans la capitale Malabo et d'autres villes du pays.
"Il est tout à fait possible de faire face à la criminalité en respectant les droits humains", a estimé Amnesty.
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