MALABONews-Malabo (Guinée
équatoriale) Leprésident de Guinée équatoriale Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a débroussé
50 millions de FCFA contre une conférence de presse avec les journalistes
Africains venus de différents pays du
continent et appartenant aux organes moins connus et fictifs.
« 50 millions de FCFA
pour une conférence de presse que les vrais medias n’en parlent même pas »
déplore un membre du gouvernement proche de la présidence Equatoguineenne.
Le président Teodoro Obiang a
accordé le 17 octobre dernier a Sipopo une conférence de presse a plus de 100
journalistes selon la télévision d’état ,journalistes venus de presque tous les
pays d’Afrique pour évoquer avec le président équatoguinéen la situation de l’Afrique
sur toutes les facettes puisque selon les journalistes présents Teodoro Obiang
Nguema est le nouveau leader du continent Africain , Panafricaniste etc., comme
le firent Lumumba, Sékou Toure, pour ne
citer que ceux.
La question de savoir est que
tous ces éloges et valeurs correspondent –ils à Teodoro Obiang Nguema ?
Il ne s’agit-il pas du
corbeau et le renard, « Tout bon flatteur vit au dépend de celui qui
l’écoute »
Ces flatteries et mensonges ne sont que pour retirer les pétrodollars que possède
le président Equatoguinéen.
Teodoro Obiang Nguema qui
reste pénaliser par le manque à ses cotes des personnalités formées dans le domaine
de la presse ou de la communication.
Entourédonc des ambitieux (les savoirs-tout) pour tout simplement tirer eux aussi leur profit personnel.
Ces ignorants qui aspirent
aux grands postes politiques et pourtant incapables, collaborent donc avec les
Virus-escrocs du secteur de la presse a l’image des Camerounais qui proposent
des grands projets de presse à la présidence Equatoguineenne pour les financer.
De la Chaine de televisionAfrica 24 a Femmes d’Afrique et Hommes d’Afrique(Magazine) basésà
Paris et Rabah par exemple, Malabodébloque des milliards de dollars pour
eux alors que les quelques organes de presse privés du pays ne bénéficientd’aucun
franc de la part du gouvernement malgré la publicité en faveur du régime et
gouvernement qu’ils font d’ailleurs.
Ces Virus- Escrocs comme nous
les appelons ici (ces gens étrangers qui proposent les projets de presse peu
sérieux a la présidence Equatoguineenne
pour financer) ont alors trouvé une terre fertile, un pays où les gens
œuvrent que pour leurs intérêts personnels au grand dam de l’intérêt national.(
LA GUINEE EQUATORIALE)
A vous les grands
journalistes et autres masqués qui défilent dans les couloirs de la présidence
Equatoguineenne pour déposer les projets de presse moins appréciés par la communauté internationale puisque les
règles de journalisme comme la neutralité sont oubliées, ne se soucient pas des
réelsproblèmes que rencontrent encore la population de Guinée équatoriale .
Au moment de la rédaction de
cet article il n’y a pas d’eau courante à Malabo et c’est pendant 10 jours du
coup c’est le calvaire puis que l’on parcourt des Kilomètres a la recherche de
ce liquide précieux et vital
Alors aux messieurs qui touchent que leurs chèques et se mettent à
faire la vie dans les hôtels de luxe et cafés
entre Paris, Rabah, Washington ou encore Londres avec les fonds du trésor équatoguinéen,
l’histoire s’impatiente de vous juger
pour crime économique sur le sol étranger.
Le conseil Africain des
Medias, c’est l’actuel projet qui Co-organise les conférences de presseaprès
avoir dissuadé les collaborateurs du président Teodoro Obiang les champions en
corruption.
Ce conseil Africain des
medias attenddonc une enveloppe de 1 million de dollars qu’a annoncé le président
de Guinée équatoriale.
Face à cette annonce ou
promesse nous demandons pour quoi faire ? S’enrichir personnellement ces initiateurs
qui se partagent avec les journalistes contactés l’argent du contribuable
équatoguinéen et revenus tirer du pétrole ?
Malabonews veut faire voir cette situation tout en
appelant le président Teodoro Obiang Nguema a ne plus se faire tromper par les
virus-escrocs d’Afrique et d’ailleurs qui disent l’aider à changer son image car ce qu’il fait
pour son pays est au vu et su des
conscientsvos efforts sont aussi appréciés à leur juste valeur même si beaucoup reste encore à faire.
SOM /
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