MALABONews-Malabo(Guinee equatoriale)-Le journaliste independant et correspondant de la radio panafricaine Africa N.1,AFP,DW,APA et Anadolu a Malabo Samuel Obiang Mbana arrete mercredi25 mars par la police et detenu pendant huit heures dans une cellule au commissariat central de Malabo" deplore la sous formation des policiers equatoguineens,la violation de la liberte de la presse et d'informer ainsi que le caractere violent vis a vis des journalistes".
Le journaliste a ete arrete alors qu'il faisait son travail de journaliste
"j'ai ete arrete mercredi vers 11h au Niveau de l'hotel Tropicana ou je couvrais une manifestation des etudiants de l'universite, manifestation violemment dispersee par la police qui a fait usage de gaz lacrymogenes suivi d'une quatre vingtaine d'arrestations d'etudiants"
La police a reproche au Journaliste Samuel Obiang Mbana d'avoir pris avec son appereil photo, les images des policiers arretant les etudiants.
"La police apris de force mon appareil photo, ma carte de presse, mon passeport, et mon telephone"
Apres huit heures de detention ou privation de liberte , Samuel Obiang Mbana a ete relaxe le meme jour vers 20h,19h(GMT)sans pourtant lui signaler le delit pour lequel il a ete prive de liberte pendant huit heures.
Deux jours apres la liberation, Samuel Obiang Mbana est alle recuperer son materiel et documents pris par force par la police mais la grande surprise est que son telephone n'apparait plus.
"Mon telephone tres luxueux et couteux lequel je travaille avec, qui me contient enormement de donnees et autres choses ne m'a pas ete remis ce vendredi"
Le commissaire en charge de l'information generale et frontaliere de Malabo qui a remis les objets a demande a Samuel de repasser a la police lundi car il ouvre une enquete afin de trouver le policier qui a detouirne le telephone.
Ainsi se passent les choses dans certains pays du monde,toutefois la police equatoguineenne est reputee pour sa violence, arnaque, racket et meme le vol
le president Teodoro Obiang Nguema a dans certaines occasions appele les agents de la police a abandonner ces pratiques mais jusque la en vain.
A noter qu'une consoeur du magazine Ekos avait aussi ete interpellee mais laisser sur le champs.
SOM/
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