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mercredi 8 janvier 2014

Guinée Equatoriale: trois Indiens de l'entreprise commerciale Martinez Hermanos installée en Guinée équatoriale sont en otrage par les pirates probablement Nigerians qui ont arraisonné leur navire de marchandise.


MALABONews-Malabo(Guinée équatoriale)-Le bateau de transport de marchandises battant pavillon équato-guinéen appelé San Miguel mais propriété de l’entreprise commerciale indienne Martinez Hermanos porté disparu le 2 janvier dernier est de retour  sur le quai de Malabo mais sans plus  son capitaine de bord, le mécanicien et le soudeur tous de nationalité indienne.
Selon les six membres de l’équipage libérés, les trois indiens en question sont détenus par un groupe de pirates dont l’identité reste toujours inconnue, pirates qui ont arraisonné le bateau parti de Malabo pour Bata transportant 150 tonnes de marchandise.
Les pirates qui  détiennent alors  les trois indiens du navire San Miguel conditionnant leur libération  contre une rançon de 2 millions de dollars demandée  pourraient être de nationalité Nigériane.
« Notre bateau a été attaqué a 20 milles de Bata, les pirates étaient armés, ils avaient les armes automatiques, on n’a pas vu comment ils sont entrés, certains avaient  que les shorts ,ils demandaient l’argent, ils nous ont demandé de les conduire d’abord a Kribi au Cameroun mais finalement on s’est retrouvé au Nigeria, ils parlaient Anglais et Pidgin (anglais déformé) expliquent les six membres de l’équipage libérés ou rescapés dont deux  Indiens, trois  équato-guinéens et un Sao-toméen.
C’est la première fois qu’un navire de marchandises est détourné au large de la Guinée équatoriale malgré plusieurs zones d’ombre sur l’arraisonnement de ce navire dans les eaux territoriales de Guinée équatoriale quand ont sait que outre les patrouilles conjointes avec la marine Camerounaise et Gabonaise, les autorités ont rassuré avoir acquis le matériel nécessaire et les ressources humaines pour barrer la route a tout acte de piraterie dans ses eaux.
A Malabo l’on est mobilisé pour trouver la piste ou avoir les indices des  ravisseurs de trois indiens désormais otage.
Cette affaire laisse alors claire  que le golfe de Guinée n’est pas encore une zone hors nuisance des groupes de pirates ou bandits.
Il faut donc multiplier les mesures de surveillance et contrôle pour éviter que les pirates frappent plus fort dans cette zone du golfe de Guinée ou le pétrole coule a flot.
SOM/

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