« Devant une
situation dangereuse de sécurité dans
les pays voisins, en ce moment nous impose de mettre en place une autorité
chargée de contrôler les flux des
migrants dans nos frontières, c’est-à-dire, il faut contrôler les mouvements des migrants dans toutes les
frontières » a déclaré Teodoro Obiang Nguema
Le Chef de l’état équato-guinéen
a justifié une fois de plus le rejet par son pays d’appliquer la libre
circulation dans l’espace de la communauté économique et monétaire d’Afrique
centrale (CEMAC) prévue d’entrer en vigueur le premier janvier 2014.
«Quand nous avons
refusé la libre circulation le peuple nous a applaudi alors, il y a les
indices que l’on veut nous déstabiliser a travers les frontières » a
indiqué Teodoro Obiang Nguema accédé au pouvoir à la faveur d’un coup d’état le 3 Aout 1979 et longtemps accusé par les
organisations de droits de l’homme comme Human right Watch, Amnistie
internationale de diriger la Guinée équatoriale d’une main de fer.
La Guinée
équatoriale partage plusieurs frontières terrestres et matîmes avec le Gabon et
le Cameroun où Boko Haram mène les attaques en enlevant les
étrangers occidentaux.
« La sécurité
en mer doit être accrue, nous avons les bateaux, la croissance économique de la
Guinée équatoriale fait braquer les projecteurs sur nous, les puissances
colonisatrices, donc il y a de quoi
rester vigilants » a conclu le numéro un de Guinée équatoriale :
Le 17 février 2009
le palais présidentiel de Malabo avait été attaqué par les assaillants venus
par la mer, Malabo avait d’abord attribué l’attaque aux Nigérians du Mouvement
pour l´émancipation du delta du Niger MEND(Nigeria).
SO/
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